Monday, June 30, 2014

Ebook gratuit L'invention de Jésus, by Bernard Dubourg

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L'invention de Jésus, by Bernard Dubourg

Détails sur le produit

Relié: 288 pages

Editeur : Gallimard (octobre 1988)

Collection : L'infini

Langue : Français

ISBN-10: 2070710939

ISBN-13: 978-2070710935

Dimensions du produit:

20,5 x 14 x 1,9 cm

Moyenne des commentaires client :

3.8 étoiles sur 5

5 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

266.381 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Très érudit. Terriblement polémique. Convainquant. L'ouvrage du regretté Bernard DUBOURG va détruire l'interprétation traditionnelle de l'origine du Nouveau Testament. Lentement mais sûrement. Je le recommande à tout qui s'intéresse à la religion sans croire au surnaturel (c-à -d à Dieu !). Pour les autres : éviter ! Trop décoiffant, pourrait faire du mal. Attention : un seuil élevé de culture historique, biblique et linguistique est requis, absolument ! Le tout admirablement écrit dans une langue parfaitement maîtrisée. Du caviar pour l'esprit.

Nonobstant les démonstrations "guématriques" (entre autres) de l'auteur assez complexes et parfois lassantes pour le lecteur non spécialisé et sa visite guidée dans les recoins d'un conte de Perrault pour illustrer une partie de sa thèse, force est de reconnaître après lecture qu'on a franchement de quoi s'interroger sur l'historicité du christianisme et du Christ... Un coup de pied dans la fourmilière ? L'impitoyable B. Dubourg a peut-être fait oeuvre utile...Je ne peux m'empêcher d'autre part de citer l'humour dévastateur de Dubourg qui démontre les incohérences ... : "Au commencement le dieu bête et méchant créa le ciel et la terre, et Sagesse, présente à cette occasion-là, n'eut ensuite qu'à s'en mordre les doigts - et nous avec !". Enfin relevons dans ce tome 1 un glossaire et références et une conclusion très éclairante des plus utiles.

J'attendais beaucoup de ce livre, et j'ai été déçu tant par la substance que par la méthodologie.L'auteur tourne en rond autour d'un vrai sujet. Il est précis quand cela n'a aucune portée et évasif quand le lecteur souhaiterait du concret et du factuel.J'ai peiné à aller au bout.Le thème est passionnant mais il est traité de façon trop idéologique et trop peu scientifique pour que ce livre soit réellement exploitable pour l'étude approfondie sinon de la genèse du moins des origines du Nouveau Testament.

Un travail qui enfin prend en compte la racine du Livre. Le trouble ou l'incompréhension ressenti à la lecture de certains passages des Evangiles trouve ici une explication. Lorsqu'on cherche à comprendre en profondeur un texte, il nous apparaît nécessaire de connaître le contexte dans lequel il est né. Et le premier contexte est sans constation le langage. L'invention de Jésus revient donc à la source hébraïque. Et ce retour est dans cet ouvrage magistralement démontré. Un travail qui dépasse largement les recherches historiques (souvent vaines) cherchant à prouver ou à nier l'existence de Jésus. une approche linguistique prouvant (sans détour) que les textes évangéliques ont d'abord été écrits en hébreux et non pas en grec. Un vrai travail de chercheur qui ouvre (enfin !) une nouvelle voie d'accès vers Le Livre, et explique par le fonctionnement de la langue hébraïque des passages qui jusqu'alors paraissaient simplistes, voir incohérents.Un livre primordial !

L’ouvrage de Bernard Dubourg porte sur les origines du Nouveau Testament. Il appartient au genre de thèses mythistes dont il présente les caractéristiques classiques :1. L’auteur lutte contre "l’Eglise" (page 272). A l’absolu (sans adjectif ni complément) et en français, il s’agit toujours de l’église catholique :2. L’auteur lutte contre les grécistes (un néologisme dont l'emploi est toujours méprisant dans la prose de Dubourg) : selon Dubourg, tous les chercheurs travaillant sur les origines du nouveau testament et ayant montré depuis une cinquantaine d’années, que celui-ci fut écrit en grec persistent dans leur aveuglement (sic) et sont remplis d’idées préconçues (sic) par méconnaissance de l’hébreu (sic). Selon lui, les textes grecs sont issus d’un orignal hébreu, dont le manuscrit de selon Matthieu est bien attesté3. Si les autres originaux hébreu n’ont pas été retrouvés, c’est parce que le christianisme officiel les a détruits (page XXX) Cette affirmation, qui mériterait quelques nuances, se répète en bloc pour quantité de documents qu’il s’agisse de textes supposés originaux du NT supposés en hébreu. Ce motif de la destruction des manuscripts est réccurent et quasi obligé chez les auteurs luttant contre l’Eglise. On le trouve aussi bien chez Michel Onfray, chez Daniel Massé, ou Amblain ou Dan Brown4. Jésus n’a pas d’existence historique ; il fut fabriqué par le christianisme à partir de l’époque de Constantin 1er5. Il affirme fermement être le premier à soulever l’idée (page XX) que le midrash[ soit présent dans le Nouveau testament (son corpus est souvent réduit aux Evangiles et à l’Apocalypse ; il n’y a rien d’exhaustif dans ses propos. Pour les autres textes, il se contente d’affirmer.)Ces 5 items :* le besoin de lutte contre l’église catholique. Les auteurs mythistes catégorie amateure ont toujours un adversaire qui est l’église la plus reconnue dans leur région géographique. Cette situation fait tout l’intérêt de Freeke & Gandy pour nous les européens* l’aspect seul contre tous : Tantôt Dubourg exprime qu’il est seul contre tous, tantôt qu’il est le seul à avoir émis les bonnes hypothèses. Contrairement à Tresmontant que cela déprime, Dubourg voit un signe de son génie dans le fait d’être seul conte tous. Il déclare être le seul à défendre cette opinion du ruminement midrashique quoiqu’on la retrouve avant lui chez Gary [nom américain à véfier, président de l’équivalent de l’union rationaliste aux USA dans les années 1950]* l’absolutisation de ses hypothèses par l’emploi d’attaques à la personne [(En fait d’un groupe : tous les partisans d’un NT original en grec qui sont perclus de préjugés (sic) ou revêtus d’expressions signifiant leur stupidité (sic) comme personne. Dire que les thèses sont fausses ne pose pas de problème surtout si l’argumentation montre quelque chose d’alternatif. Chez Dubourg, l’argumentation principale (car rétroversion est partielle au contraire de celle de Tresmontant) et sa guématrie limite (si l’on en juge par des auteurs spécialistes [lien sous peu]) est que les autres comme groupe sont nuls* la théorie du complot (sur la destruction des manuscrits),* l’affirmation que Jésus n’a pas eu d’existence historiquesont les critères de toute thèse mythiste amateure. L’érudition n’est qu’apparente. Dès que le lecteur dispose d’une certaine connaissance de l’hébreu, du grec, voire de l’araméen, et/ou de certains aspects du midrash, il renvoie l’ouvrage dans la catégorie littéraire de la fiction romanesque, analogue aux code de la Bible et autres romans de Dan BrownL’ouvrage eut à sa parution et jusqu’au décès de l’auteur qu’une audience limitée, n’étant ni traduit, ni réédité en dépit de la renommée de Gallimard, et de sa politique affirmée d’exportation des ouvrages s’ils comptent.Il ne dispose à ce jour que d’une faible reconnaissance éditoriale et d’aucune reconnaissance académique.Il faudrait écrire un article qui ait pour but :o d’exposer la thèse de Bernard Dubourgo d’expliquer les raisons de son échec à provoquer les chercheurs chrétien (comme il en affiche l’ambition ) comme à inspirer la moindre recherche.La soit-disant démonstration repose sur une compréhension très personnelle de la Guématrie. Il promeut un usage dévoyé de la guématrie que B. Dubourg tient d'une conception erronée de la Kabbale. Dans l'invention de Jésus, Dubourg considère que son lecteur est initié à la Kabbale dès qu'il sait additionner 1 et 2. Cette conception de la Kabbale réduite à des calculs provient d'une traditions magico-alchimico-cartomancienne répandue dans le monde chrétien depuis Pic de la Mirandole jusqu'à Fabre d'Olivet qui cabbalisait déplorablement. Elle pousse même aux rationalistes du 19ème siècle qui condamnaient les religions comme survivance d'une pensée pré-moderne mais ne dédaignaient pas de faire tourner les tables et d'évoquer les esprits. Vuillaud est bien dans cette tradition réductrice dont Guy Casaril en expose le tableau à la page 132 de son ouvrage "Rabbi Simeon Bar Yocchaï et la Cabbale" dans la collection "Maîtres Spirituels" au Seuil en 1977. Il dit :"Tout occultiste de nos jours comme au 17ème siècle prétend avoir étudié la cabale : les permutations de lettres, quelques calculs du grand Nom de Dieu qui fot songer à des jeux de société, aux prédictions de Cazotte sur la mort des nobles pendant la Terreur, ou à la sagesse des Almanachs"Dubourg joue au sudoku, (comme le montre un interview qu'il donna à Maurice Mergui où il fait assaut de virtuosité calculante), et Mergui tente d'en tirer la sagesse des Almanachs dans "un violon sur le toit" quand il établit le "vrai sens" des récits évangéliques qui ne saurait être spirituel.Manifestement, Mergui ne veut pas se rendre compte que leurs calculs sont étroitement dépendants de la traduction hébraïque qu'ils utilisent, c'est à dire qui la leur propre qui celle de Dubourg. Ils reproduisent l'erreur de Dubourg dont ils sont étroitement dépendant (Mergui dans un interview expose combien il tient Dubourg pour un génie incompris) Nul ne doute que la traduction Dubourg ou Mergui "marchent". Elles sont faites pour ça.De même la traduction allemande d'un texte écrit en Français par Henri Heine marche pour la bonne raison que Heine est de langue maternelle allemande et que l'allemand affleure sous le français ; on pourrait en dire autant de la traduction française de Baudelaire qui serait faite à partir de l'édition allemande de ce poète faite par Paul Celan. L'allemand de Celan transparaîtrait sous le français qui n'aurait rien à voir avec la langue de Baudelaire sans céder un pouce sur le sens et la symbolique pourtant transposée.Dubourg ne comprend pas la guématrie comme les spécialistes réputés du judaïsme : Jacques Goldberg, Roland Goetschel (dans leur communication au Colloque de Bruxelles sur l'unité de la connaissance et surtout dans la discussion qui suit la communication de Golberg), Guy Casaril déjà nommé.Par exemple, dans son opuscule sur la cabale, Casaril parle de Guématrie, de Notarikon et de Temura qui ne sont pas des disciplines servant à "prouver quelque chose" mais des exercices de préparation à la vision extatique créées par Abraham Aboulafia, un juif de langue arabe qui invente ces méthodes, disciplines du Tserouf, à la fin du 13ème siècle. Le Tserouf ou "combinaison" est un ensemble de techniques d'accès à l'extase par la contemplation d'objets abstraits en vue de la libération de l'âme. Dans sa théorie de l'âme, Aboulafia est très plotinien. Le Tserouf n'est pas une jonglerie de lettres, de chiffres et de mots mais une technique progressive permettant au disciple de libérer son âme dans une extase provoquée dont il pourra contrôler le déroulement. "Or Ha Sechel", son maître livre, est un "traité de yoga judaïsé" comme le dit Gershom Scholem. Aboulafia n'est pas considéré comme un grand cabbaliste. Ses idées se répandirent donc par fragments.Casaril, traducteur du Sefer Yetsirah qu'il donne dans l'ouvrage cité expose que la cabale se développe au travers de quelques maîtres créant une tradition théosophique ; cette tradition se transmet dans quelques livres (sefer, plur=sefarim, racine sfr comme sefira, au pluriel sefirot, i.e. chiffres, numérations, qui sont des attributs de Dieu dans l'arbre de méditation) Pas une once de midrash là -dedans, parce que cela n'a rien à voir avec le sujet et pas question de prouver quoique ce soit. Il s'agit d'une technique de méditation personnelle. On est loin des élucubrations de Dubourg.Enfin, d'un curriculum vitae donné par son fils dans Wikipédia, il apapraît que Dubourg n'avait fait que 2 ans de grec au moment où il échoua au concours de lécole normale d'Ulm, ce qui est bien trop peu pour donner les évaluations dénigrantes du grec Koiné qu'il produit. On peut tout autant s'interroger sur sa connaissance de l'hébreu ; selon l'un de ses soutiens les plus fidèles "il savait épéler et déchiffrer". Il en résulte que ce bouqin est un Da Vinci code avant la lettre.

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